OBLIGATION D'ELAGAGE DES PROPRIETAIRES

ECLAIRAGE PUBLIC

L'Eclairage Public représente aujourd'hui près de la moitié de la consommation d'électricité de la commune et plus du tiers de notre facture d'électricité. Les enjeux énergétiques, environnementaux et financiers sont forts. C'est pourquoi la commune de Saint –Felix a décidé de renforcer sa politique "Eclairage Public" en lançant sur le budget 2015, un diagnostic de l’existant avec le SYANE, dans le cadre de son programme Epure. Le SYANE dans le cadre de son programme accompagne les communes vers un éclairage raisonné et responsable. Les objectifs ? Répondre aux besoins d’éclairage en améliorant la performance et la qualité, tout en maîtrisant les consommations énergétiques et en limitant ses impacts sur l’environnement. Notre d’éclairage public est ancien et coûteux.

De plus, aux consommations d’énergie, il faut ajouter les dépenses de maintenance ou d’investissement, liées à l’éclairage public. Nos services ne sont pas équipés pour réaliser cette maintenance donc nous passons par des entreprises privées et chaque intervention (ex : changement d’une ampoule) coûte très chère.

Concernant les risques pour la sécurité, L’ONDRP (Observatoire Nationale de la Délinquance et des Réponses Pénales) confirme les statistiques suivantes : 80%  des cambriolages se font le jour et 20% la nuit, les véhicules roulent moins vite car il y a moins de visibilité, etc…

Nous vous informons que nous avons lancé un audit sécurité sur la commune de Saint-Félix en collaboration avec la gendarmerie et le point éclairage public fait parti du dossier. Les points suivants seront étudiés :

- Maintenir l'éclairage dans certaines zones (carrefours stratégiques ou zones sensibles) en concertation avec les forces de l'ordre ;

-Installer sur certains points des éclairages à détection (ce qui présente l'avantage de renseigner les patrouilles sur une présence anormale) ;

- Prendre en compte des zones vidéo protégées.

Nous afficherons le schéma d’éclairage public retenu sur la commune lorsque nous aurons finalisé ces études. Nous sommes conscients que les économies d'énergie ne doivent pas être au même niveau que  la question de la sécurité mais ce sont  deux points importants à prendre en considération.

Pour la sécurité routière, nous allons étudier ce problème par la mise en place d’un mobilier urbain plus adapté (ex : quilles fluorescente) qui ne passe pas forcement par l’éclairage public.

Nous informerons la population lorsque nous aurons les résultats de ces études et du choix de l’investissement à réaliser en fonction des finances de la commune.

PREVENTION DE LA DENGUE ET DU CHIKUNGUNYA EN FRANCE METROPOLITAINE

Vous trouverez joint à cet article les documents de prévention.

 

"OPÉRATION ZÉRO PESTICIDE"

Notre commune, appartenant au bassin versant du Lac du Bourget, s’est engagée dans le contrat « 0 pesticide » pour la préservation de la nature avec moins de pollution de l’eau et moins de risques pour la santé.

Un bureau d’études, financé à 70% par l’Agence de l’Eau et le Conseil général, nous a permis de faire l’état des lieux des pratiques actuelles, de définir les objectifs à atteindre pour les différents espaces communaux et  de nous établir un plan de désherbage.


Des sites pilotes ont été choisis pour mettre en place ce plan de désherbage :

- les abords de la mairie

- les abords de l’église

- les écoles

- le jardin du Curé

- le complexe sportif

- le cimetière

- la route d’Aix-les-Bains

- le chemin piétonnier entre la route de Rumilly et le Pontet.

 

Les sites situés près des rivières ou accueillant du public sont dans des zones à risque élevé d’où le devoir de réduire et de supprimer les produits phytosanitaires.

 

Les pratiques de désherbage sont :

- le paillage

- les mélanges fleuris

- la tonte raisonnée : en pratiquant la hauteur de tonte à 5cm ou plus, on évite l’invasion des plantes indésirables : pissenlit, plantain, graminées… et ainsi on réduit voire on supprime l’utilisation des produits phytosanitaires de type sélectif gazon. En diminuant le nombre de passage de tontes, on fait des économies de temps d’entretien, de consommation d’essence, d’usure du matériel et une limitation des impacts environnementaux vis-à-vis de la faune et de la flore.

- les aménagements à revoir en fonction des espaces : dallages, plantes vivaces couvre-sol…

- le nettoyage des dallages à haute pression

- le désherbage thermique obtenu par un système à four infrarouge et lance fonctionnant au gaz. L’acquisition de ce nouveau matériel est subventionnée aussi à 50%.

 

Progressivement, les pratiques se mettent en place.  En 2013, l’utilisation du désherbeur thermique dès le printemps permettra de diminuer ou supprimer, selon les lieux, les herbes folles que l’on a pu voir en 2012.

 

2 lieux sensibles, le cimetière et le complexe sportif, sont à l’étude. Au cimetière on ne peut pas accepter l’envahissement des mauvaises herbes, malgré l’arrachage à la main, un peu de pesticides est encore utilisé. Lors de travaux d’entretien ou d’extension, il faut repenser l’organisation du cimetière pour permettre le passage du désherbeur thermique et limiter les espaces où l’herbe peut envahir. Le complexe sportif, terrain de foot et terrain de pétanque, a ses propres contraintes, les changements de pratiques se feront plus en douceur.

REGLEMENTATION FEU

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MONOXYDE DE CARBONNE

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SDENS : SCHEMA DES ESPACES NATURELS SENSIBLES 2016-2022

FRELON ASIATIQUE

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Diaporama